Fermeture de l'ancien fenil(10)

Un vrai feuilleton!...

Bonjour à tous !

Depuis le dernier article, j’ai bien sûr un peu avancé…

D’abord, j’ai fixé pour de bon l’extérieur des coffrages dont je vous ai parlé la dernière fois.

Un petit avant, après :

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                (Il reste à faire la suite en haut le long de la solive, et les finitions, bien sûr!)

Avant de continuer la pose de la laine de roche, j’ai commencé le coffrage intérieur des tuyaux des panneaux solaires.

Voici quelques photos qui parleront mieux que les discours que je pourrais tenir.

Pour l’instant, je n’ai besoin que d’un côté, celui que j’aurais eu plus de mal à faire une fois le plafond terminé. Je ferai les autres plus tard ; il y a plus urgent, avec ce vent un peu frais qui commence à souffler.

Quand j’ai eu bien avancé la pose de la laine de roche d’un côté, j’ai commencé à poser de façon définitive les dalles d’OSB3. Dur, dur le départ : impossible de m’aligner sur le mur ! J’ai donc choisi de positionner les plaques à la perpendiculaire des solives : c’était plus prudent ! Avant de fixer, j’ai fait un essai en utilisant des serre-joints  

                                           (là)

pour bloquer l’extrémité des premières sur la solive du bout, la règle de 4m pour vérifier l’alignement, et des cales le long du mur, pour éviter que l’OSB aille contre, auquel cas tout se serait déréglé…Quand la première rangée a été OK, j’ai mis quelques vis et ça a été un jeu d’enfants de continuer.

(sur chaque solive, j'ai posé des "isobandes"(marron clair), très efficaces contre les grincements des plaques,etc...)(les bandes grises sont des restes d'isolant phonique utilisé sous les tomettes)

J’ai été obligée de faire quelques coupes pour passer les morceaux de bois qui dépassent en prévision d’une attache à une poutre supérieure,

mais ça a été relativement facile.

Hier soir, j’étais vraiment contente d’avoir réussi ces coupes.

Mais, comme le dit souvent Xavier sur son blog, tout çà, c’était avant, avant la catastrophe!...

                          A demain,

                          peut-être…